Aujourd’hui le 8 janvier
- RAPPORT USDA ce mardi (IMPORTANT !)
- Mais/Soja : Révision de rendement et superficie
- Blé : Semis blé hiver
J’en discute sur le Tube :
Mardi midi – c’est là que ça se passe. (Bon, ce se passe déjà depuis 4 mois vous me direz… avec raison !). L’année 2020 aura été spéciale, disons. Des grandes variations de prix, des incertitudes, le départ de Trump (ca s’en vient), la pandémie, le vaccin.
Le vaccin et les banques centrales
Tout un cocktail pour simuler les marchés financier ! Si RedBull donne des ailes, La FED donne du KÉROSÈNE au SP500 et Dow Jones ! Whouuu. La bourse n’a pas peur de ca, le vaccin. Au contraire !!! Ça me fait justement penser…. Si tu as déjà mangé un sandwich au baloney, tu devrais pas avoir peur du vaccin. Si tu as déjà été dans une toilette chimique du Festival d’été de Québec tu n’as pas à avoir peur du vaccin. Si tu as déjà mangé des sushis de dépanneur, t’es correct. Tu as déjà choisi « conséquence » en jouant à vérité conséquence en 1995 – t’as vraiment rien à craindre.
Bon je m’égare, comme dab.
Par contre, la quantité d’argent injecté dans le système en ce moment est sans précédent. Et le marché financier en mange comme des peanuts au East Side avec une bonne bière froide.
D’ailleurs une bonne partie des fonds du gouvernement américain sont injecté dans le secteur agricole aux USA – ça permet aux cultivateurs d’avoir accès a une capital incroyable. En plus de taux d’intérêt ridiculement bas !
Eventuellement ça va créer de l’inflation je pense, mais sinon on en profite pour s’acheter de la Machinerie. A voir l’action de John Deere je pense que les ventes sont bonnes !
L’action a presque triplé en moins d’an an !
La planète à la conquête des matières premières (comme le papier de toilette en mars)
Les changements qu’on a vu et subi en 2020 sont incroyables, et l’univers des matières premières s’est mis en branle aussi. Ça fait longtemps que j’ai vu ressenti un engouement pour les « commodité » autant que depuis quelques mois. Un vrai marché de demande – tout le monde en veut, l’appétit est très grand. LA DEMANDE a faim ! Et l’offre est serré, ça prend la coopération de Dame Nature pour les cultures, et les défis de la logistique en temps de pandémie sont exposés comme jamais. Par exemple, la cadence de production a du ralentir dans plusieurs secteur au moment où il y a eu un ‘rush’ de consommation. On a juste à penser au bois d’œuvre cet été quand tu voulais rénover ta galerie ! C’est dur de répondre à la demande quand la main d’œuvre est pas là ! Des fois c’est aussi des question de politique comme la Russie qui malgré des bonnes cultures de blé préfèrent garder leur stock chez eux. Même chose en Argentine.
Chaque marché a ses spécificités et il ne faut pas trop généraliser, mais bon…
Cours de l’acier :
Cours du bois d’œuvre :
Soybeans :
Bitcoin :
SIMON BRIÈRE
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